Iron beam expédié précipitamment en Ukraine pour qu’il s’y mette à l’épreuve des Shahed 129, des Sjajed 191 et les Shaed 136 iraniens récemment livrés à la Russie, des frets bourrés de Harop fraichement arrivés à l’aéroport de Bakou pour qu’ils y embrasent la frontière Arménie/Azerbaïdjan/Iran puis une conférence militaire convoqué à la hâte à Tel Aviv où prennent part les chefs d’état-major de 24 pays otaniens plus celui du Maroc pour parler de « coopération stratégique militaire internationale » contre « les menaces conjoints, de quoi a-t-il si peur Israël pour remuer si hystériquement le ciel et la terre ? de deux choses : primo d’un ultimatum lancé par le secrétaire général du Hezbollah qui touche bientôt à sa fi, ultimatum comme quoi l’entité sioniste ne pourrait rien tirer des réserves offshores de la Méditerranée orientale ni à Karish ni à Léviathan, ni à Tamar ni dans aucun autre gisement, si le Liban n’en ferait pas autant. Et secundo de cette ambiguïté qui entoure totalement la nature de la première frappe du Hezbollah. Et ce sont ces deux points qu’attise l’assourdissant silence de Nasrallah
Ce silence est ce le calme avant la tempête ? C’est ainsi que le comprend le camps d’en face qui cumule des coups de bluff de tout genre histoire de fuir en avant. Au fait, tout Israël spécule en ce moment sur ce qui pourrait être l’ampleur du « raid inaugural du Hezbollah » d’où cette conférence militaires urgence dont les participoants, tous des chefs d’étta major devront contribuer à ce qu’Israel puisse d’abord anticiper le coup et ensuite lui préparer une riposte. Mais voyons comment le regime commence à s’y prendre : il y a surtout ce retrait en catimini de l’armée israélienne qui combiné à d’interminables état d’alerte a fait presque place net le long des frontières du Liabn à une profondeur de cinq km.
C’est el cas de cet exercice qui a débuté ce mardi matin dans le golfe de Haïfa car les prédictions du renseignement militaire sioniste y verraient le point de départ du premier coup du Hezbollah. Pourquoi en mer plutôt qu’au sol ? parce que tout a commencé ce 2 juillet par un premier essaim de drone hezbollahi qui partis en mission de reconnaissance à Karish a réalisé un des coups aéronavals les plus pertinents de l’histoire dans la mesure où il a su mettre au pas des F-35 et ne se faire que partiellement très partiellement choppé par des F-16 et Barak-1 réunis. Mais voyons de plus près de quoi est composé cet exercice-éclair qui se veut une mise à niveau de l’armée israélienne contre la première frappe du Hezbollah? il s’agit d’une action impliquant non pas l’armée, Tsahal, mais bel et bien les force de sécurité ni non plus l’armée de l’air mais la marine d’Israël.
Des forces de sécurité pour faire face à tout premier raid du Hezbollah ?! Si la présence des unités navales pourraient à la limite se faire comprendre en référence au clash du 2 juillet on est en droit de se demander si vraiment ces forces de sécurités sionistes dont le bilan catastrophique en Cisjordanie est entaché de pires échecs faces aux commandos armés de Jénine et de Naplouse, sauraient, ne serait ce qu’une toute petite heure, tenir tête à une première attaque du Hezbollah ou si partant de la logique du bouclier, elles sont plutôt censées créer comme des colons de Kiryat Shmone une première couche face à la déferlante des commandos du Hezbollah.
Mais ce n’est pas tout : l’absence de l’armée de l’air israélienne dans cette simulation qui vise à préparer une riposte au premier choc prouve tout simplement que l’initiative est d’ors et déjà entre les mains de la Résistance libanaise surtout si ce « prélude » tant attendu implique outre les drones, les missiles ou les combinaisons de missiles drones qui cibleraient quelques-unes des bases aériennes situées en Galilée du Nord par exemple. On se souvient d’ailleurs de ce futé drone Hassan qui en février a scanné le nord d’Israel d’ube superficie de 7000 km 2 zone qui abrite pas moins de 10 bases militaires et aériennes sans que ni l’armée de l’air ni le Dôme de fer puissent lever le petit doigt.
La frappe inaugurale du Hezbollah pourrait ainsi parfaitement viser à neutraliser l’armée de l’air israélienne à domicile privant le camp d’en face de la possibilité d’une réponse immédiate, ce qui offrirait largement le temps à ce que le second coup du Hezbollah tombe. Ne vaut-il pas mieux que les officiels sionistes cessent de bluffer et finissent par trouver le bon alibi pour se soumettre aux exigences du Hezbollah ? Car aux dernières nouvelles, la Résistance libanaise ne serviraient ni de drones ni de missiles le jour J mais bel et bien des drones de croisière…L'Iran a d'ailleurs dévoilé en juin dernier le missile de croisière à réaction et à guidage électro-optique appelé Heidar-1 qui est conçu pour être utilisé sur une variété de plates-formes légères, notamment Fotros et le drone armé Kaman-22.Heidar-1 qui est un missile stand-off a une portée de 200 km et une vitesse de 1 000 km/h au moment d'atteindre la cible. La tête chercheuse optique du missile lui permet de toucher des cibles mobiles.